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17H51 - Inauguration, la scène de tous les plaisirs (terminé)
Sam 25 Avr - 19:50
Gervais Hernillon
Gervais Hernillon
33
Musicien à la fine oreille
Au fond de la salle les choses allaient bon train, on portait le dernier piano, on briquait, on frottait, tout pour que la scène illumine la soirée. Et enfin ce fut achevé ! Les lattes étaient cirées, les instruments bien accordés, les râleries écartées et les collègues rencontrés. 120 tout de même, ça en fait du monde, évidement ils vont tourner sur scène, mis à part pour certain évènement l'orchestre complet est superflu, puis si après 2 heures de concert les voilà tous exténué ce serait bien triste. Prévention est mère de sûreté, cent assurances valent mieux qu'une. Et parmi tous ces gens aucun qui ne semble le connaître ? Mais parmi tous ces gens aucun qui ne semble le connaitre ? (Si on laisse de côté les deux trois qu'il a croisé en ville les jours précédents) ... Lui, Le Tancréde ? Et bien, tant pis, il s'y fera bien assez vite. Il s'y est même déjà fait, tient.

Ah, il s’était prit bien des piques avec son "petit retard" mais, comme il le fallait bien, on ne lui en avait pas tenu rigueur bien longtemps … Sauf Régis. Un noble un peu bedonnant, autoritaire comme pas deux, qui avait tout l’air d’avoir dû mettre fin à une carrière militaire à cause d’une patte folle avant de se tourner vers le piano, ce qui avait probablement participé à le rendre tout aigri. Régis n’était peut-être pas son vrai nom, mais Gervais se dit que cela lui allait bien, et quelque soit son nom il se l’était mis à dos.

- ... Et on ne remercie pas Tancréde qui se permet d'arriver quand ça lui chante... Non je ne veux toujours pas savoir à quel point tu peux chanter juste ! Nous sommes Ici Ce soir pour jouer, alors le reste de tes compétences ne nous intéresse en rien !

On l'ignora bien vite pour se féliciter comme on en avait coutume, là on se prend dans les bras, là de grande tape dans le dos, ou, pour les plus timide, des sourires satisfaits. Et c’est dans cette ambiance bonne enfant qu’une répétition improvisée commença. Pour ce qu’il reste de temps, il allait enfin pouvoir prouver qu’il était à sa place ! Son tendre luth en main, il suivit l’orchestre. Une première mélodie traversa la pièce pour venir divertir les gens bloqués aux portes, pour ceux qui pourront l’entendre.

Soudain, une note s’éternisa. Un pianiste frappé de catalepsie ? Pourquoi ? Par quel malheur ? Un petit ricanement monta dans les airs, porté par la note funeste. Quel quand soit la source, les quelques musiciens les plus habitués du palais s’était réfugié contre le mur du fond. Les unes croisant les bras sur leurs poitrines, les autres emmêlant leurs jambes dans des positions inconfortables. Tout cela n’augurait rien de bon…
Re: 17H51 - Inauguration, la scène de tous les plaisirs (terminé)
Dim 26 Avr - 16:01
Lianelle la folle
Lianelle la folle
19
Folle du Roi
Lianelle est venue "assister" a la répétition des musiciens, et évidement elle n'a pas résister longtemps avant de mettre son grain de sel(en fait elle tenue 10 seconde sans embêter personne ce qui est un record !) La elle est assise sur un des pianos écrasant sur une des touches le doigt d'une jolie jeune pianiste tout en lui souriant alors que cette dernière est au bord des larmes. Puis elle remarque que tout le monde la regarde, ceux qui la connaisse se sont vivent éloigné d'elle, elle adore lire la peur dans leurs yeux cela lui donne des frissons de plaisir. Elle retire son pied relâchant la main de la jeune pianiste.

-Hé hé hé hé quel accueil! Ne faite pas attention a moi voyons je suis juste la pour vous surveiller HÉ HÉ HÉ HÉ !

Puis elle se retourne vers sa jolie (et surtout terroriser ce qui l'excite encore plus) proie tout en passant sa langue sur ses lèvres.

-Hmmm dit moi ma mignonne comment tu t'appelle?

Dit elle en lui attrapant lui relevant le menton pour l'obliger a la regarde dans les yeux.

-La jeune femme tétanisé ne parvient pas a produire le moindre son.

Puis un homme bedonnant s'approche le visage rouge de... colère? (Chouette il va être amusant lui!)

[Régis] -Jeune femme! Nous somme en pleine répétitions pour l’anniversaire de roi! Si vous ne partez pas sur le champs je l'informerais de votre comportement! 


Puis il regarde méchamment la pianiste comme si elle était a l'origine du problème.


-....HA HA HA HA HA HA HA!!!!


Lianelle éclate d'un rire bruyant qui se répercute dans la pièce et qui lui donne un air malfaisant.


-Mais fait donc bouboule, je suis sur que le roi sera RAVIS de te recevoir pour une tel raison hé hé hé.

L'homme devient encore plus rouge quand un autre musicien lui attrape le bras.

[Régis] -QUOI ENCORE!

[Musicien sans nom] -Tait toi! C'est Lianelle! Si tu veux pas mourir ferme la Régis.

Au nom de Lianelle le dénommé Régis passe du rouge au blanc en une fraction de seconde. Le fait que les gens disparaisse autour de Lianelle son connue, tout comme le fait que c'est la chouchou du roi.

Lianelle est maintenant allongé sur le ventre toujours sur le piano et elle regarde l’échange avec amusement.

-Hi hi hi "mourir" voyons vous me sous estimé...

Elle n'en rajoute pas plus les laissant imaginer ce qu'elle sous entend.

-Bien! Reprenez donc faite comme si j'était pas la! HA HA HA HA!
Re: 17H51 - Inauguration, la scène de tous les plaisirs (terminé)
Lun 27 Avr - 2:03
Gervais Hernillon
Gervais Hernillon
33
Musicien à la fine oreille
Voilà un nouveau personnage haut en couleur. Et quelle entrée ! Non de non, elle, elle ne passe pas inaperçu. Comment avaient-ils pu la louper et qu’elle se retrouve si prés d’eux, sur la scène, sur un piano, poussant des petits rires à coller la chairs de poules à la salle de bal entière ? Il avait vu bien d’autres pitres, d’autres bouffonnes, d’autres désaxées, mais personne d’aussi direct et naturel que celle-là.

Discrètement il passe prés de l’homme qui les avait avertis plus tôt.

- Mais qui est-ce donc ?

- Lianelle, articula-t-il dans un déglutissement, la folle du roi, j’aurais voulu ne pas la croiser… ci-tôt…
Curieusement, la peur de cet homme semblait teintée d’une excitation déviante… Son conseil n’avait, peut-être pas, été pour sauver Régis mais motivé par la jalousie et l’envie ?

-Bien! Reprenez donc faite comme si j’était pas la! HA HA HA HA!

On se précipita rapidement prudemment à la rescousse de la pianiste, restant le plus loin possible de la femme bariolée. Une fois hors de porté, on l’observa, la retourna et le diagnostique tomba : doigt cassé.
Eh bien, elle n’y était pas aller de pied mort ! Comment pouvait-on avoir tant de force du bout de l’orteil ? C’en était presque flippant.
Et il n’en resta que 119.
Peut-être que le roi n’avait pas surévalué le nombre, après tout, il devait bien connaître les tendances de ses employés, et d’elle surtout.

Aucun ne semblait à l’aise pour reprendre le morceau. Et elle restait là, passant son regard de l’un à l’autre, s’arrêtant, souvent, sur Régis qui savait apparemment s’attirer les ennuies. Si cette Lianelle se prenait d’envie de le broyer aussi, serait-il vraiment une si grande perte que ça ? Combien restaient-ils de pianistes ? Cinq ? Six peut-être ? Gervais poussa un soupir. Ne prenons pas de risque. Peut-être que son intervention, à priori désintéressé, pourra rattraper sa bourde et dissiper quelques suspicions à son égard... et que risquait-il vraiment ?

- Vous êtes un monstre Madame, un monstre charmant je vous l’accor- (il fait sonner un « la » de son luth et risque un clin d’œil) -de, mais un monstre tout de même. Rien de grave pour la répétition, mais nous devons pouvoir jouer dans moins de dix minutes… Aussi peut-être serait-il bon de ne pas trop… esquinter les musiciens avant ça ?

Bien loin d’être un reproche, au vu de l’énorme sourire qu’elle affichait face aux apeurés du fond, il espérait que ça pourrait bien lui plaire à cette folle. Ainsi ferait-il coup double, ne pas vexé l’Interruption, sans se mettre à dos le reste des musiciens, et leur permettre de reprendre le travail sans autre perte.

Il se rapproche de la première victime.

- Regardez celle-ci ! C’est une attelle et au moins une semaine de convalescence qu’il lui faut avant de pouvoir reprendre le piano… Des semaines peut-être des mois de préparations, que dis-je, des années... réduis à néant par votre pied. Aaaah c'est bien triste, cela m’attriste…

La pianiste, toujours à fixer son doigt, ne pu réprimer ses pleurs.
Re: 17H51 - Inauguration, la scène de tous les plaisirs (terminé)
Mer 29 Avr - 16:19
Lianelle la folle
Lianelle la folle
19
Folle du Roi
Un des musiciens a le courage de lui parler Lianelle se tourne d'un coup vers lui comme un prédateur qui a repéré une proie.

-Moi un monstre?

Un petit moment de silence.

-HA HA HA HA HA HA !!!! Oui exactement! HA HA HA HA!!! Vous êtes le premier a avoir le courage de me le dire en face... Enfin non mais pour les autres le contextes était différent.

Par exemple elle a tuer un de leurs proches.

-Hi hi hi allons les musiciens ça se remplace et de toute façons hé hé hé c'est votre problème si vous êtres pas assez vous allez devoir jouer jusqu’à en mourir. Sinon c'est le roi qui vous tuera. Fu fu fu ça peux être amusant d’ailleurs. Au moins miss pianiste ne risque pas d'avoir de problème si elle fait une fausse note... Hi hi hi le dernier musicien a avoir déplut au roi est toujours en bas (sous entendu dans les cachots) enfin ce qu'il en reste hé hé hé.

Elle regarde tout les musiciens et leurs sert un sourire plein d'innocence et de bonté.

-J’espère sincèrement que vous ne déplairais pas au roi. Se serais dommage non? 

Ses mots avais était dit avec un ton bienveillant et justement cela les rends encore plus terrifiant.
Re: 17H51 - Inauguration, la scène de tous les plaisirs (terminé)
Mer 29 Avr - 19:05
Gervais Hernillon
Gervais Hernillon
33
Musicien à la fine oreille
Lorsque leurs regards se croisa, une pensée traversa son crane à la vitesse d’un éclair lugubre.

Woups, j’ai peut-être fait une connerie… encore.

Les yeux de la folle s’agitaient [sous son masque] comme ceux d'un chien de chasse qui n’attendait qu’une chose : être lâché. Il souffla juste un petit « oui… », inaudible à moins de coller une oreille à sa bouche, avant qu’un puissant rire ne vienne interrompre la suite de sa phrase. Il voyait de plus en plus pâlir ses collègues, certains commençaient même à tourner dangereusement de l’œil. Les menaces à demi-mot (voir mot complet sans aucun pré-machage) d’un danger, bien plus important qu’un simple doigt un peu tordu, au défaut d’être les meilleurs des encouragement, étaient efficaces lorsqu’ils agissaient de rester dans les clous. Et les tons mielleux et débordants d’une bienveillance déplacée n’arrangeaient rien. Mais, il fallait bien répondre sinon le monstre pourrait bien s’énerver sous le poids de l'ennui.

Tachons de l’amuser, et que ce ne soit pas pour sa gueule, par pitié.

Il déglutit et partit dans un soliloque.

- Le courage ? C’est tout moi ça ! Je suis homme de courage, courage de fuir, courage de m’écrouler en courbette impérieuse, courage de cirer toutes chausses, et courage de l’ouvrir lorsque le contexte est léger. Oooh, oui a bien y réfléchir le courage a toujours prit grande place dans ma vie. Là, mon courage me cri de partir sans tarder de cette fête de dégénéré… Si la menace de mort est si présente au dessus de nos têtes, pouvez vous nous rappeler la carotte ? Ah oui la gloire et les honneurs de voir une salle festoyeuse danser au rythme de notre musique. Il y a là toutes les raisons de se réjouir et de jouer de tout notre saoul ! Les pauvres qui épuisés mourront, mourront en héros. Les mauvais qui s’affadiront en fausses notes, s’affadiront derechef en prison. Et les pires de tous qui tiendront jusqu’aux bout, jusqu’à en déplaire à notre bon roi ?… Aaaah ne parlons pas de ces martyrs là. Mais si tout ce passe bien ? Oooh pas que je ne trouve cela non plus réjouissant, mais la possibilité existe, non ? Alors cet anniversaire restera mémorable… d’une bonne façons. Pourquoi tant de charognard pour se satisfaire du pire, lorsque le mieux est à portée ?

Sur la fin il s’était retrouver face à l’orchestre qui, voyant dans sa distraction quelque chose de galvanisant, s’était bien reprit, sur pied, instrument à la main, prêt à jouer. Un arc de cercle vide se dessinait toujours face à Lianelle, mais on n’y pouvait rien. Pour qui avait-il fait la comédie ? Il s’était perdu en plein milieu. Après avoir retrouvé tout son souffle il reprit.

- Vous vouliez un morceau Madame ? Une danse macabre vous irait ?

Il allait vraiment devoir changer d’apparence plus rapidement que prévu à se faire tant remarquer de la sorte…
Re: 17H51 - Inauguration, la scène de tous les plaisirs (terminé)
Mar 5 Mai - 17:25
Lianelle la folle
Lianelle la folle
19
Folle du Roi
Lianelle s'approche du musicien bavard.

-Hi hi hi.

Elle lui saisis le bas du visage et se rapproche de lui jusqu’à être quasiment collé a lui.

-Hé hé hé. Tu est plutôt marrant dit moi. Mais tu serrais pas entrain d'essayer de me volé la vedette par hasard mon chou? 

Elle approche ses lèvres de l’oreille du musicien tout en lui saisissant l'entrejambe en commencent a serrer, elle lui susurre langoureusement a l'oreille.

-Tu devrais faire attention petit lapin, les grands méchants loups pourrais ne pas apprécier qu'on parle trop en leurs présence. HA HA HA HA!

Elle le lâche et s'éloigne d'un salto arrière faisant passes ses pieds très prés du visage du musicien.

-Une dance funèbre me conviendrais parfaitement hé hé hé hé.
Re: 17H51 - Inauguration, la scène de tous les plaisirs (terminé)
Mar 5 Mai - 18:40
Gervais Hernillon
Gervais Hernillon
33
Musicien à la fine oreille
Alors que le musicien s’apprêtait à donner le départ, son visage tourne… contre son gré. Il se retrouve, les yeux écarquillés, masque blanc contre masque blanc, les iris qui se laissaient deviner. Des yeux vairons qui annonçaient la versatilité de la douceur animée d’une âme sombre. Un sourire nerveux apparut plus bas, se dégradant au fur et à mesure des mots glissés à l’oreille sensible de l’artiste. Il releva le menton dans un réflexe douloureux. Le nez pointant vers les lustres, une main lui écrasant les parties. La partie était finit ? Jeu pour la Dame ? Il en avait connu d’autre. Devait-il se fendre en soumission ? Juste exaucer les souhaits sadiques de sa partenaire fêlée ? Une petite larmichette coula le long de sa joue. Sans doute de la sueur. Et c'est avec une voix de fausset qu'il tente de se justifier.

- La vedette c’est vous. Tous ici en sont assurés, vous étiez tête d’affiche sur piano à queue, vous êtes meneuse de cette manche. Je ne suis qu’un faire valoir pour vous projeter sous les feux des rampes. Loup repu n’a plus faim, c’est mon travail de lapin de les rassasier, d’amusement pur, si cela peut me préserver de la douleur, j’avoue que je préférerais.

Le message étant passé, elle le relâcha. Il reprit ses couleurs naturels, toussa et après s’être raclé la gorge :

- Jouons donc pour la Dame, un Final digne de Sa scène. Oh, un intermède peut-être ? Vous choisissez après tout, vous êtes seule folle Madame la juge, toutes les lumières sont sur vous ! Et nous en sommes les lanternes.


Et des premières notes craintives s’élevèrent mollement dans les airs avant de prendre en envergure, sautant l’intro pour plus de vivacité.

Danse Macabre - dédicace à Lianelle:
Re: 17H51 - Inauguration, la scène de tous les plaisirs (terminé)
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