...

- Monsieur Tancress ... ou quelque soit votre nom. Je vais vous prendre votre ... luth, je vous prie.

Lorsque son luth lui est confisqué, il ouvre les grands yeux dans un incontrôlable étonnement… Avant d’éclater de rire.

- Vous voulez dire que vous ne me connaissez pas ? Tandress…Non, Tancréde Liess ? Ça ne vous dit rien ?

Pousse un soupire de soulagement (Ou d’exaspération, il ne sait plus) avant de reprendre :

- Et pour le luth vous pouvez développer ? Je suis musicien, j’en ai besoin pour faire mon travail, vous savez ?! Je suis sur que l’on peut trouver un arrangement, vous avez du entendre de bien sinistre histoire pour vouloir ainsi déposséder un homme de son... luth. Mais je suis sûr que vous êtes quelqu’un de raisonnable… Je ne me trompe pas ?

- Vous pourrez passer en fin de soirée pour venir le reprendre. Passez une bonne soirée.

Très bien, je vois que ça ne sert à rien d’essayer, et puisqu’ils me laissent tout de même passer je ne vais pas m’en priver ! Mais cette petite coche à coté de mon nom ? Hum, ce n’est pas le pire dans cette situation ! Et la soirée ne pressent pas d'être bonne, je dois trouver la voie, ou il se pourrait bien que je me perde loin de là où l'on voulait me mèner.



[Vous pouvez imaginer que ça rimait à l’origine en lieffelois ou en elis]



A peine dans la salle de bal je me jette sur un domestique sans même prendre le temps d’observer les alentours. Il avait tout l’air de s’occuper des éclairages de la salle, de s’assurer qu’aucunes chandelles ni aucunes lampes ne viendraient à s’éteindre impromptement. Et d’impromptu il en est un qui s’en venait droit sur lui, un Gervais avec la furie des délaissés (ou bien des délestés ?). C’est le premier qui lui tombe sous la main et il compte bien le prendre à parti.

- Hé vous là, vous connaissez l’homme là bas ? Cet idiot qui arrache des mains d’honnêtes – autant que cela ce peu – gens leur plus cher objet ? Celui qui, à leur cœur bien prévenant, mérite toute leur affection, celui qui est, pour ainsi dire, comme le reflet de leur vie ! Il est de ces hommes là, et l’on ne peut accepter pareil traitement ! Vous n'êtes pas contre aider un homme dans le désarrois n'est-ce pas ? Aller donc le voir, il vous écoutera peut-être !

Si il n’y a pas de merlan frit au menu de ce soir, il en a un face à lui, ou du moins des yeux ronds et globuleux de ceux qui sont pris au dépourvu. Le serviteur y joint un égarement balbutiant qui ne lui rajoute qu’un autre trait digne de tout poisson : celui du clapotement de la bouche. Gervais prend une profonde inspiration.

Reprendre son calme… Rien ne c’était bien passé depuis le midi ; La salle d’eau qu’il avait réservée à prix d’or à l’auberge c’était libérée avec prés d’une heure de retard, laissant apparaître une jeune noble toute fluette et une servante essoufflée d’avoir tant et tant tiré sur les lacets du corset… Le départ loupé de l’orchestre qui devait lui assurer une entrée silencieuse, caché qu’il aurait été dans la fanfare… La cohue à l’entrée et maintenant… ça !? L’odieux vole de son luth !

Bien on avait dit subtilité et sobriété, alors on reprend avec calme et sérénité.

- Allons allons reprenez vous, vous êtes des gens d’ici, un peu de tenue que diable ! Regardez, vous en avez fait tomber vos chandelles !

Il se baisse pour les ramasser. Si il veut pouvoir en tirer une quelconque aide, il va vouloir lui faire retrouver ses esprits… C’est à ce demander qui s’occupe du recrutement des gardes et des gens de maisons.

Varda ruminait toujours le sermon à l’encontre des gardes lorsqu'elle entra dans la Salle de Bal. Elle n’eût guère le loisir de chercher le propriétaire du luth : il avait de tout évidence décidé à commencer le spectacle avec un peu d'avance. Sans doute  pour s’échauffer un peu avant le début de l’événement. En revanche, quand on avait une telle voix, on se demandait bien pourquoi on avait besoin d'un luth en plus pour faire du bruit. Et le voilà qui houspiller désormais les domestiques, Varda leva les yeux au ciel d'un air désabusé et entama sa marche d'approche.

- Tancrède Liess ? Varda de Mormegil, Commandante des Manteaux Blancs se présenta-t-elle d'un léger signe de la tête
Elle leva à hauteur de vue de son propriétaire, le précieux instrument

- Il semblerait que le zèle de nos gardes n'ait fait quelques dommages collatéraux .

Elle rendit le luth à l'homme, tout en le considérant avec la plus grande attention. Elle ne comprenait toujours pas pourquoi, il n’était pas entré avec le reste de la troupe quelques temps auparavant. Son instinct, lui murmurait d'adopter la plus grande méfiance à son encontre.

- Puis-je vous demander, Monsieur Liess, pour quelles raisons vous n'avez pas emprunté la porte de service dédiée à votre profession ? Cela vous aurez évité ces désagréments


Plusieurs hypothèses lui venaient à l’esprit et toutes concordaient à le rendre suspect à sa façon. Soit, il n’avait pas connaissance de l'entrée dédié et auquel cas il ne devait pas réellement être qui il prétendait, soit il la connaissait mais n'avait pas voulu se faire remarquer de ses collègues qui n'en n’étaient peut-être pas. Tous les musiciens étant également masqués, ils leur seraient bien plus difficiles de se rendre compte de l'imposture. Elle arqua un
sourcil dans l'attente de son explication. Le Dragon Blanc comme on la surnommait, aimait plus que tous les procédures et surtout que celles-ci soient respectées à la lettre. Or cette entrée scène, sortait clairement du cadre défini.

Il était presque à quatre pattes, essayant d’attraper la dernière chandelle qui s’était sauvée lorsqu’une botte vient l’arrêter.

- Tancrède Liess ?...

Il se redressa d’un bond, des frissons dans le dos. Quelqu’un qui le connaissait ? Déjà ? Enfin ! Elle se présente, pas quelqu’un qu’il aurait oublié donc.

- Enchanté Dame de Mormegil, et c’est bien lui même que vous venez de trouver.

Il s'incline, en profitant pour observer l'adversaire. Les cheveux blancs, un regard acéré, des galons rutilants… Il zieuta un bref instant à mi-hauteur pour découvrir une lame au fourreau. L’une des personnes de la soirée à ne pas, ne jamais, même par erreur, m’être en colère si il voulait pouvoir sortir d’ici.
Mais quelle est donc cette infortune qui me frappe aujourd’hui ?
Et que lui voulait-elle ? Un autographe ? Pourquoi pas après tout, ce serait bien.

Un luth… Non, Son luth arriva sous ses yeux qui, en un instant, se remplir d’étoiles. Il aurait pu se jeter à son cou ! ... si son instinct lui disait qu'il le pouvait, et là était à des milles d'être le cas.

- Des dommages collatéraux, c’est ça même ! Ah mais comment puis-je vous remercier ?

Mais apparemment il s’était réjouie trop vite. Voila que l’inquisition commençait, déformation professionnel sans doute. Ce sentir observé il en avait l’habitude, mais par des yeux qui donnaient l’impression de vous transpercer à chaque saccade ? C’était tout autre, il se sentait mis à nu, et pas d’une bonne façon.

- Puis-je vous demander, Monsieur Liess, pour quelles raisons vous n'avez pas emprunté la porte de service dédiée à votre profession ? Cela vous aurez évité ces désagréments.

Il prit une profonde inspiration et embruma ses yeux, sans que des larmes n’en coulent.

- Voyez vous, c’est une histoire horrible que celle qui m’est arrivée plus tôt, mais je ne vous la détaillerai pas. A moins que vous ne m’en prieriez ? Oh, pas que je pense que vous ne puissiez l’entendre, mais c’est une épreuve encore vive à mon cœur… (une larme coule et la voix devient chevrotante) et j’ai peur de ne pouvoir la conter sans quelques émotions. De plus vous trouveriez, sans doute, cela bien futile de s’émouvoir pour si peu.

La tête basse, comme pour se reprendre, il observe la réaction de son petit jeu avant d’enchaîner avec plus de sérieux.

- Mais passons, je suis en retard et j’en ai conscience, j’ai loupé le départ de la fanfare et me suis perdu dans la foule. En errant la marrée humaine m’a amené jusque là. Navré si ce n’était pas la bonne porte. Mais maintenant je ne vais pas ressortir pour faire le tour je présume… Bien que je m’en veuille que mon entrée soit loupée à vos yeux.

Aurait-il réussi à calmer ses doutes avec ces vagues explications ? Qu’il trouve tout de même bien sentis. Mais... quelque chose lui dit que cette Dame ci est bien loin de son public habituel.

Dame de Mormegil ? On ne l'avait plus appelé ainsi depuis des lustres. Elle en oubliait même souvent le précieux héritage qu'elle portait.
-Commandante, je vous prie

Avait-elle l’air de l'une de ces greluches enrubannées dans leur robe meringue ? Certainement pas et son regard sévère le confirmait à son interlocuteur. Elle ne s'appesantit cependant pas sur son appellation et enchaîna avec ses demandes d’éclaircissement.
Il paraissait mal à l'aise face à elle et c’était tant mieux. Elle n’était pas ici pour se faire des amis mais pour protéger le Prince. Il y avait assez de loups dans la bergerie sans qu’il ne soit question d’en ajouter un de plus.
Sa réponse ne fit guère prier accompagnée par ce qui se voulait être des yeux humides:

- Voyez vous, c’est une histoire horrible que celle qui m’est arrivée plus tôt, mais je ne vous la détaillerai pas. A moins que vous ne m’en prieriez ?
Varda le regarda imperturbable durant tout son petit monologue. Espérait-il vraiment qu'elle avale ces sornettes et s'apitoie de sa débauche de pathos mal placé ?  La Commandante n’était pas reconnu pour sa patience légendaire et la fin de son petit spectacle arriva à point nommé. Car en effet, elle trouvez cela bien futile et n’appréciez guère que l'on fuit ses questions. Qui donc esquiverez ainsi si ce n'est celui qui a des choses à dissimuler ?
La suite de ses explications ne fut pas réellement plus convaincante si ce n'est pour ce ton plus sérieux.

– J’espère que vous êtes meilleur musicien qu’acteur pour le bien de notre ouïe, Monsieur Liess se contenta-t-elle de répondre avant de l’inviter à la suivre.

- Je vais vous escorter jusqu’à l'a scène, si vous le voulez bien. Je ne voudrais pas que la fourmilière qui règne dans la salle de bal ne vous égare à nouveau

Une façon polie du rappeler qu’il n’était pas question de venir fureter sous le nez de la dragonne. Sans attendre son acceptation, elle embraya le pas. Elle n’avait guère besoin de fendre la foule, chacun s’écartant ostensiblement à son arrivée de peur sans doute de subir ses foudres.

- Votre troupe ne semble pas des plus courtoises à votre égard. Vous laissez sur le carreau ? On en croirait presque que vous n'étiez pas attendu, Monsieur Liess.  

Une invitation de dernière minute sans doute

Quelques pas plus de plus et ils venaient de rejoindre la scène.

- Nous y voilà. Veuillez à nouveau excuser le zèle de nos gardes. Sur ce et si vous n'avez pas d'autres interrogations je vous souhaite une excellente soirée. Sans fausse note, bien-sûr.

Un simple sous-entendu visant une fois de plus à lui rappeler, si la confiscation du luth n'avait pas été une preuve suffisante que rien ne serait laissé au hasard ce soir.

Bien, bien, bien… Ils étaient totalement fait pour s’entendre, du moment qu’ils se croiseraient le moins possible soit entendu. Un oisif artiste vagabond et une gradée bien trop portée sur l’étiquette... Si elle voulait qu’il l’appelle "Commandante", il le fera, ça le choque beaucoup moins que si elle réclamait d'être appelé "mon lapin". Comment dire... ça ne collerait pas avec le personnage. Bien qu’il ne voit pas le mal que son "Dame de Mormegil" avait pu provoquer en elle... Qu’importe l’attirail qu’elle trimballe, une Dame était une Dame après tout, non ? Ou bien était-ce là un moyen pour rappeler avec appuie ses galons ?
Tsss, ces militaires.

Et voyant que son jeu ne prenait pas, il du bien reconsidérer sa stratégie. Bien loin d’apprécier les comédies elle devait avoir le goût des tragiques. A peine commençait-il à y réfléchir qu’elle l'assena d'une sentence aiguisée. Grimaçant intérieurement, désarçonné et poussé jusqu’à la défensive, mais pas vaincu pour autant, le musicien opine. Ruminant des injures, il attendrait une quelconque ouverture pour tenter une estoc. Il s’agirait de ne pas plus l’agacer sans raison.

- Bien aimable à vous de le proposer, la scène n’est pas loin, et mon sens de l’orientation pas aussi mauvais, mais si cela peut vous rassurer, j’accepte avec joie.

Il se retient d’y joindre un sourire de faux-cul, préférant adopter un air droit, sans mimique désobligeante, qui satisfera plus la guindée. Il se tourna vers l’homme-poison, qui était resté immobile pendant toute la scène, lui remit les chandelles qu’il avait encore dans les mains en le remerciant et s'excusant. Puis il emboîta le pas à une escorte qu’il savait être de choix mais dont il se serait bien passé.

Il fut presque étonné lorsqu’elle lui fit la conversation sur le trajet… mais les sous-entendu inquisitoires bien présent le rassurèrent presque.

- Courtois ? Pourquoi devrait-on l’être ? Nous sommes certes des artistes, mais des professionnels avant tout. Attendriez vous un soldat manquant à l’appel avant de partir en manœuvre ? Une heure est une heure, et un retard est un retard. J’ai été "laissé sur le carreau " comme vous dites, et bien que ça ne me tienne pas à cœur, je vais sans doutes recevoir des piques.

Une fois arrivé à la scène, après qu'il ait lancé un signe de salutation à ses collègues, elle le planta de nouveau de sa voix ferme.

- Merci pour tout, et je les en excuses sans difficulté, j'ai récupéré mon luth, c'est tout ce qu'il m'importe. C’est une soirée importante après tout, alors un peu de zèle n’est pas déplacé. Et de notre coté le zèle sera d’offrir une soirée sans fausses notes aucunes, cela va de soit… et si il me prenait l’envie de danser ce sera sans faux pas ! Pour ce qui est d’être attendu, je ne suis certes pas un habitué du palais, mais un marquis ou un autre m’aura bien recommandé au roi pour que je sois ainsi invité. Il fouille son veston et lui tend la lettre. Voici, si vous voulez vérifiez que tout est en règle, Commandante.

Le musicien avait l’air de vouloir lui fausser compagnie bien rapidement, mais la Commandante n'en avait pas fini avec son cas. A défaut de tirer l'affaire au clair -ce dont elle doutait fortement-, elle espérait tout du moins en apprendre un peu plus sur lui et lui dissuader de tout mauvais entreprise qu’il pourrait avoir.

- Courtois ? Pourquoi devrait-on l’être ? Nous sommes certes des artistes, mais des professionnels avant tout. Attendriez vous un soldat manquant à l’appel avant de partir en manœuvre ? Une heure est une heure, et un retard est un retard. J’ai été "laissé sur le carreau " comme vous dites, et bien que ça ne me tienne pas à cœur, je vais sans doutes recevoir des piques.

Elle haussa un sourcil et afficha un petit sourire se remémorant le jour où l'un de ses Manteaux Blancs avait osé manquer la désormais traditionnelle revue des troupes aux aurores.

- Non, Monsieur Liess, vous faites erreur. Je ne laisse pas sur le carreau mes soldats . Je préfère leur offrir un réveil en fanfare mémorable .

Un bon seau d'eau fraîchement tiré du puits par ses camarades lui avait fait passer l'envie de manquer le réveil les fois suivantes.
Il n'en demeurait pas moins que cela paraissait étrange que personne ne se soit interrogé  sur son absence. Dans tout cet orchestre, il devait bien posséder au moins un ami ou ne serait-ce qu'une connaissance qui n'aurait pas manqué de venir le chercher. Varda garda ses pensées pour elle-même et alors qu’ils arrivèrent sur la scène, elle ne put se garder de l'asticoter à nouveau.

Ses propos lui paraissaient douteux sans qu'elle ne puisse mettre le doigt sur ce qui la dérangeait réellement. Elle lut avec attention l'invitation que le musicien lui tendit : tout semblait en ordre et parfaitement authentique. Elle lui rendit le précieux sésame.

- Je vous remercie de votre coopération. Puisque nous avons désormais réussi à accorder nos violons, je n'ai plus qu’à vous laisser en faire de même avec votre luth. Profitez bien de cette soirée exceptionnelle, Monsieur Liess.

Sur ce, le dragon blanc tourna les talons en direction des appartements princier.

- Non, Monsieur Liess, vous faites erreur. Je ne laisse pas sur le carreau mes soldats . Je préfère leur offrir un réveil en fanfare mémorable.

Dans une mimétique du à l’étonnement et l’incrédulité, il haussa également un sourcil, sans toutefois sourire. Il avait des souvenirs beaucoup moins familiaux de ce que pouvait-être l’armée… Des histoires de cours martiales et d’exécution sommaire, lorsque des malheureux avaient pu louper le départ d’une formation de ne serait-ce d’un minute, il en avait bien entendu. Il connaissait les frasques de l'armée lioffeloise - ou du moins celles d'une partie d'entre elle. Alors, cette Commandante, toute rigide qu’elle était, pouvait-elle avoir, cachée derrière cet ignoble uniforme incolore, une âme d’enfant de chœur, avec des pointes chaleureuses et presque… maternels ? Sur l’instant il se figea, convaincu qu’était la une chimère de la pire espèce, il secoua légèrement la tête, pour en chasser l’image erronée d’une Commandante d’armée « cajolant » ses soldats, les empêchant d’aller à une mort destinée à lui permettre de fuir, les respectant comme humains tout bonnement.
Foutaises !
Ce "réveil en fanfare mémorable" devait, assurément, être écrit dans les chairs d'une bien douloureuse façon.

Il n’arrêta le flot de ses pensées qu’au moment de lui tendre la lettre, qu’elle prit sans hésiter, avant de lui rendre, satisfaite. La chose était faite, elle allait désormais bien devoir accepter qu’il était à sa place. Il apprécia tout de même d'un petit sourire son trait d’esprit, le premier qui n’était pas vexant, qu’elle venait de faire. La salua, comme il se faut, et finalement conclu, bien trop sobrement à son goût :

- J’espère que vous saurez également en profiter, Commandante.

En voyant son dos droit drapé dans sa cape traverser la salle en sens inverse, il souhaita ne plus la revoir... Mais peut-être que ce souhait serait bien éphémère.

Cela étant, il avait bien d’autres choses à faire, alors, il se tourna vers la scène et accouru aider ses paires.